Carnet blanc : Facoly s’est « pendue »

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Elle a célébré la fête des amoureux de la plus originale des manières. En scellant son union avec Mamadou Faye, un cambiste de profession. L’artiste Facoly chante donc à l’unisson avec le nouvel élu de son cœur…

La Saint-Valentin de cette année sera à jamais gravée dans la mémoire de Facoly… La chanteuse de son vrai nom Fatou Goudiaby, a concrétisé de la plus belle des manières son idylle avec Mamadou Faye alias Momo ou Meuz pour les intimes. Les amoureux se sont dit oui dans l’après-midi d’hier, devant Dieu et les hommes. Leur mariage a été scellé dans la plus grande discrétion devant leurs proches à Keur-Massar (quartier de la banlieue dakaroise). On comprend mieux pourquoi l’artiste était ces derniers temps, en retrait de la scène.

Elle jouait sur un autre tableau, celui de l’amour et était occupée à rendre gaga le nouvel élu de son cœur. Lequel habite à Dakar (Golfe Nord) mais travaille à Saly où la voix de la Casamance exploite un hôtel, «La Médine». Tout porte à croire que les tourtereaux s’y seraient croisés au détour d’une rue. Néanmoins, une chose est sûre, ils n’ont pas perdu du temps pour se marier. Selon certaines indiscrétions, l’histoire d’amour entre Facoly et Momo est allée très vite et a pris de court leur entourage. L’interprète de «Yow la done khar», d’ordinaire très discrète dans sa vie privée, a été très surprise que nos radars accèdent à l’information de son union.

Passé l’effarement, elle a confirmé la bonne nouvelle, précisant : «Je suis fraichement mariée. On vient tout juste de me donner en mariage.» Son époux serait cambiste de profession et serait très bien introduit dans la station balnéaire de Saly. Facoly quant à elle, a été révélée au public sénégalais en 2007. On la découvre alors sur un registre nouveau à l’époque, l’afro-beat, dont elle s’autoproclame porte-étendard. Sa voix empreinte de l’accent du Sud, est sa marque de fabrique. Pas étonnant puisqu’elle y tient ses origines.

Avec quelques productions musicales sur le marché, elle a réussi à se faire un nom, avant de sombrer brusquement dans l’anonymat. Mère de 2 bouts de bois de Dieu, elle avait connu d’autres ménages, dont le dernier avait été célébré en avril 2018 avec un politicien qui militait à Mbour et a duré le temps d’une rose…

Source L’Observateur

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