JAMRA et le CDVM portent plainte contre la série LGBTiste “Réwolén” !

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LE COMITÉ de défense des valeurs morales (CDVM) et l’ONG islamique JAMRA ont été abondamment interpellés cette semaine par de nombreux compatriotes indignés – qui le manifestent toujours d’ailleurs à travers des commentaires acerbes qu’il est loisible à quiconque de consulter sur les réseaux sociaux -, après avoir pris connaissance des «avant-premières» de la nouvelle série télévisée intitulée «Rewolene». Dont les réalisateurs annoncent que la chaîne SenTv devrait en assurer prochainement la diffusion.

LE SCÉNARIO de cette série hors-du-commun se décline sans ambages, à travers des extraits rendus publics par le producteur, comme une œuvre de banalisation de l’idéologie LGBT, chez les jeunes, et de promotion d’autres contre-valeurs, comme la désacralisation de l’autorité parentale, dans la société sénégalaise.

POUR SIMPLIFIER la collecte d’informations et faciliter les recoupements d’usage du CNRA, l’organe de régulation de l’audiovisuel, JAMRA et le CDVM ont fait assortir leur plainte d’extraits des deux premiers épisodes, qui attestent à suffisance de la volonté manifeste des scénaristes de banaliser cette déviance sexuelle qu’est l’homosexualité, fermement bannie par les Textes Sacrés de référence de 98% des croyants de notre pays, musulmans et chrétiens confondus. Et réprimée par l’article 319 du Code pénal sénégalais. Mais les promoteurs de cette nouvelle dérive audiovisuelle, sous prétexte «qu’il ne s’agit que d’une fiction», semblent n’avoir cure des sensibilités qu’ils heurtent violemment. Et poursuivent tranquillement leur entreprise subliminale de banalisation de cette déviance comportementale, avec pour conséquence évidente qu’elle devienne progressivement, dans les frêles esprits de nombreux d’adolescents, une «normalité».

SOUCIEUX de la préservation de la stabilité sociale de notre pays, et face à cette nouvelle dérive audiovisuelle susceptible d’être source de trouble à l’ordre public, JAMRA et le CDVM n’avaient d’autres choix que de se faire à nouveau le devoir de saisir le CNRA d’une plainte en bonne et due forme.

C’EST LIVRER UN SECRET de Polichinelle que de rappeler que dans la politique expansionniste des lobbies LGBT, figure en bonne place la «mission» assignée à leurs relais locaux d’œuvrer à une «plus grande visibilité gay», dans l’espace public et médiatique. Notre pays, le Sénégal, l’a récemment appris à ses dépens à l’occasion de la 11e édition de la Biennale des Arts (Dak’Art 2014). Tant adulée dans les cercles artistiques du Sénégal et de la sous-région, ce rendez-vous de l’Art et de la Culture a failli sombrer dans la perversité et la débauche !

INFILTRÉE par de prétendus artistes aux mobiles obscurs, qui avaient réussi à tromper la vigilance du ministère de tutelle (la Culture, sous le magistère de M. Abdou Aziz Mbaye), cette Biennale avait été détournée de ses objectifs, notamment au niveau de deux sites d’exposition. D’abord à l’«Espace Biennale Off», sur la Route de Rufisque, où figurait, bien en exergue, à l’entrée, un slogan d’accueil qui en disait long sur les intentions réelles des organisateurs : «Ma première expérience en tant que Lesbienne» ! Appuyé par un suggestif portrait d’une travestie, sanglée, bien en saillie au niveau de la ceinture, d’un «sextoy» en caoutchouc, prisé, comme tout le monde le sait, par les lesbiennes, pour simuler entre-elles l’organe sexuel mâle. Ensuite à la galerie «Raw Art», sise à la Sicap rue 10, à proximité du Centre de Santé Gaspar Camara, où le visiteur était accueilli par une affichette à l’écriteau-slogan provocateur : «Pour une visibilité gay au Sénégal».

N’EÛT ÉTÉ l’alerte énergique lancée par JAMRA et le CDVM, soutenue par une tournée d’information auprès des autorités religieuses, de nombreux adolescents risquaient de tomber sous le charme de ce prosélytisme malsain, et de perdre davantage leurs repères, dans les labyrinthes sulfureux de cette singulière Biennale. Qui dû d’ailleurs clôturer, avant terme, ses programmes, sous l’effet du grand raffut, initié par nos deux organisations, dans plusieurs médias et plateaux télés de la place.

LE CDVM ET JAMRA comptent, encore une fois, sur la diligence et la sagesse de votre honorable assemblée, afin de limiter au plus tôt les fâcheux dommages que cette dérive audiovisuelle ne peut manquer de causer sur l’équilibre comportementale de nos enfants, cibles de prédilection, depuis quelques temps, de lobbies de toutes sortes, uniquement préoccupés de gains faciles, au détriment de la santé mentale et morale de nos enfants.

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