Malgré la lourde peine (6 ans) que la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) lui a infligé, Karim Wade ne compte demander ni une grâce, ni une amnistie encore moins une libération conditionnelle. Selon « Le Témoin », l’ex ministre d’Etat a réitéré cette ferme conviction à l’endroit d’un de ses avocats, excluant toute démarche de solliciter une faveur de la part du président de la République. « Maitre, laissez-moi prolonger le séjour de mon enlèvement carcéral », a-t-il dit à cet avocat.