Du gang des lesbiennes aux frasques du travesti Ouzin Keïta, les Bureaux exécutifs de Jamra et Mban Gacce haussent le ton et déplorent la délivrance d’une quinzaine de récépissés de reconnaissance officielle à des associations d’homosexuels et de lesbiennes. Sans compter la promotion du troisième genre.
Blanc-seing pour homos
L’expansion de nouveaux espaces cédés au troisième genre et la reconnaissance officielle d’une quinzaine de récépissés à des association d’homosexuels et de lesbiennes, font sortir, dans un communiqué parvenu à Senego, Jamra et Mban Gacce de leurs gonds.
Lesbiennes
Selon l’Ong, la société sénégalais est en passe de devenir très souillée à cause de l’homosexualité. ce fléau des temps modernes. Dont l’expansion, ponctuée par l’expédition punitive d’une vingtaine de lesbiennes contre une autre repentie, dépasse l’entendement et semble être un pied-de-nez à nos valeurs.
Troisième genre
Et l’expansion du troisième genre au Sénégal trouble aussi Jamra. Cette nouvelle nomenclature ministérielle incluant la notion de «genre», dit-elle, est « susceptible d’être interprétée comme un inopportun clin d’œil d’assentiment. Ministère de la Femme, de la famille et de l’enfance, ne suffit-il pas comme appellation ? Pourquoi alors ajouter «genre» ? ».
Ouzin Keïta travesti
Dans cet ordre d’idées, Jamra indexe l’artiste Ouzin Keïta, ce travesti «xéssalisé», qui serait investi d’une mission de promouvoir le troisième genre au Sénégal, en mettant en évidence un accoutrement efféminé. Et une dépigmentation de son corps.
Pour remettre les choses à l’endroit, Jamra, à travers une tournée nationale, compte sensibiliser les familles religieuses sur cette nouvelle nomenclature. Ce, après la délivrance d’une quinzaine de récépissés de reconnaissance officielle à des associations d’homos et lesbiennes.