Un mois avant un AVC, votre corps peut vous envoyer des signes d’avertissement. Ne Les Ignorez Pas ! Partagez les !

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Vous pouvez réellement vous protéger de l’AVC, si vous faites attention à certains signes que votre corps essaie de vous envoyer. Il existe deux types d’AVC, le premier et l’un de plus commun est un accident ischémique cérébral et le second est hémorragique.

Le premier type est provoqué par le rétrécissement ou le blocage des artères dans le cerveau et qui réduit le flux sanguin. Le deuxième type est moins fréquent et elle est causée en raison des saignements dans le cerveau.

Vous devriez prêter attention à tout le inhabituel qui arrive à votre corps.

Lorsqu’un vaisseau sanguin qui a une fonction de transporter l’oxygène et des nutriments vers le cerveau est bloqué par un caillot ou éclate un accident vasculaire cérébral se produit. Et puis une partie du cerveau ne sera pas obtenir le sang et que l’oxygène dont il a besoin pour maintenir les cellules du cerveau vivant qui signifie que les cellules du cerveau meurent.

Nous savons tous que le cerveau a de nombreuses fonctions différentes et quand AVC se produit et le sang ne parvient pas à la zone qui contrôle notamment la fonction du corps, cette partie du corps ne fonctionnera pas normalement.

Vous devez connaître les signes  d’un AVC, car vous pourriez vous aider ou vos amis et la famille  lorsque cela se produit. Il est important d’obtenir de l’aide médicale lorsque vous remarquez certains des signes d’accident vasculaire cérébral.

Selon les experts, les signes et les symptômes peuvent être différents d’une personne à une autre, car il peut y avoir différentes parties du cerveau affecté, mais ce que tous les coups ont en commun est qu’ils commencent soudainement.

Prévention de l’AVC : des accidents ischémiques transitoires à ne pas négliger

Un accident ischémique transitoire (AIT) est un accident cérébral dont les symptômes parfois furtifs passent inaperçus. Pourtant, ils représentent de véritables signaux d’alerte puisque près d’un tiers des accidents ischémiques durables ou infarctus cérébrauxsont précédés d’un tel épisode.

Les symptômes des AIT sont brefs et durent par définition moins de 24 heures :

  • Paralysie d’un membre ou d’un côté ;
  • Baisse brutale, unilatérale de la vision ou vision double ;
  • Troubles de la sensibilité d’un membre ou d’un côté ;
  • Troubles du langage, difficulté à parler ;
  • Troubles de l’équilibre ;
  • Troubles de la compréhension.

Ces troubles disparaissent et ne laissent aucune séquelle. Mais la survenue d’un ou plusieurs AIT multiplie considérablement le risque d’accidents vasculaires cérébraux constitués, durables avec des troubles persistant au-delà de 24 heures et pouvant entraîner des séquelles physiques et/ou intellectuelles. Selon l’American Heart Association, une personne victime d’un ou plusieurs AIT a 9,5 fois plus de risque d’avoir un AVC qu’une personne du même âge et du même sexe n’en ayant jamais eu.

Ainsi, loin de négliger ces signes et malgré un rapide retour à la normale, ces AIT constituent une urgence et doivent amener à consulter votre médecin dans les plus brefs délais. Une prise en charge rapide permet d’enrayer l’évolution vers un accident aux conséquences regrettables.

Certains AVC hémorragiques sont précédés de douleurs crâniennes diffuses (céphalées) soudaines et de très fortes intensité.

Signes d’alerte de l’AVC : les connaître pour réagir rapidement

La survenue d’un accident vasculaire cérébral constitue une véritable urgence. La connaissance des premiers symptômes permet de réagir au plus vite. Les premières heures suivant un AVC sont capitales, elles peuvent limiter l’extension des lésions cérébrales et ainsi la gravité des séquelles.

Bien que les symptômes varient en fonction de la localisation de la lésion et de la superficie de la zone affectée, on peut dresser quelques traits communs aux premiers signes des AVC. Survenant parfois durant le sommeil, ces symptômes peuvent apparaître de manière brutale ou au contraire s’affirmer en quelques minutes ou quelques heures.

Parmi les symptômes les plus courants, on note :

  • Une faiblesse musculaire ou un engourdissement du visage, d’un bras ou d’une jambe. Fréquemment, on constate une paralysie du bras et de la jambe d’un même côté (côté en fait opposé à celui de la lésion cérébrale) ;
  • Des troubles visuels qui peuvent se manifester de différentes manières : perte d’une moitié du champ visuel, identique pour les deux yeux (hémianopsie), perte de la vision d’un oeil (amaurose) ou des deux, ou doublement de la vision (diplopie) ;
  • Des difficultés de langage se traduisant par l’impossibilité d’articuler correctement (dysarthrie), impossibilité de parler (aphasie), mauvaise expression ou compréhension des mots ;
  • Des pertes de sensibilité (contact, chaleur, douleur non perçues) allant du simple engourdissement à l’anesthésie d’une partie du corps ;
  • Maux de têtes inhabituels et très violents sans cause apparente, accompagnés de nausées ;
  • Perte d’équilibres, chutes, vertiges, manque de coordination des mouvements, etc.
  • Et parfois troubles de la conscience, de la somnolence au coma.

Si vous-même ou l’un de vos proches présente de tels signes, sachez réagir promptement en appelant le 18 !

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