PHOTO : Image exceptionnelle qu’on ne verra probablement jamais dans la série !

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Cette photo exceptionnelle que l’on ne verra sans doute jamais dans la série Wiiri wiiri, rappelle aux fans de la série les misères que Madré Peace, la belle mère de Soumboulou lui inflige. Elle joue un rôle qui ne peut malheureusement pas attirer la sympathie des fans de Soumboulou.

Dépeinte comme une femme méchante dans la série Wiri Wiri, elle apparaîtrait presque comme un enfant de cœur dans la vraie vie.

Surnommée Madré Peace, la mère de tout le monde. C’est au collège qu’elle a pris gout au théâtre. De son vrai nom, Ndéye Coumba Coulibaly est aujourd’hui, l’un des personnages clés du téléfilm Wiiri wiiri.

Dés l’age de 13 ans, elle a fait ses preuves en remportant plusieurs succès et trophées à Thiès. ” Nous avons gagné e nombreuses coupes, j’ai été la meilleure artiste de la région. Je me souviens, j’ai partagé le plateau avec Doudou Keinde Mbaye“, se rappelle t-elle.

Aujourd’hui, si elle a pu accéder a ce stade du théâtre sénégalais, c’est grâce à sa sœur l’honorable député Ndéye Aissatou Coulibaly. C’est cette dernière qui a eu l’idée de créer la troupe Soleil Levant, après une prestation pour le parti Aj/Pads, révèle t-elle dans les colonnes de L’observateur. C’est après cet événement qu’ elle est partie voir Sa Nekh, Cheikhou Gueye et d’autres venir intégrer la troupe. C’est vers 1996 1997 a t-elle confié. La maman de Mbaye Dozé et de Cheikhouna sur le téléfimlm Wiri wiiri ne gagne pas sa vie uniquement par le biais de la scéne. Elle a aussi d’autres cordes à son arc.

“C’est le théâtre qui m’a permis d’avoir un emploi”

Cette mère de trois enfants ne vit pas que du septième art, elle est l’assistante du chef de service de la Division hygiène, environnement et sécurité. ” Un artiste doit avoir un métier. On ne vit pas en Europe ou l’artiste est valorisé “. Syndicaliste crue, elle déplore que le gouvernement investisse très peu dans l’art. Après ses études secondaires jusqu’à la classe de première, elle s’inscrit à l’Ipg où elle obtient son diplôme dactylographie. Ce sésame lui vaut aujourd’hui ce métier à l’école polytechnique. “ C’est le théâtre qui m’ a permis d’avoir un emploi. Cela m’a permis de me faire des relations. Un de mes frères m’avait mis en relation avec le Recteur de l’Université Cheikh Anta Diop. Ce dernier m’a fait une note pour que j’aille voir le directeur de l’école supérieure polytechnique de Dakar d’alors Habib Ngom. C’est celui qui m’a signé mon premier contrat d’embauche“

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