Le député et marabout, Serigne Mansour Sy Djamil encense la poésie de Serigne Moussa Ka au détriment de la littérature française. Venu prendre part à la cérémonie de dédicace et de présentation de l’ouvrage : ” Beyond Timbuktu : The Intellectual History of Muslim West Africa”, du professeur Ousmane Kane, le parlementaire, qui faisait office de panéliste, a profité de cette tribune pour déplorer le complexe qui freine toujours les Africains.
Il trouve que les écrits de Moussa Kâ mériteraient grandement d’être dispensés. Car, soutient-il, “ les poèmes de cet érudit Mouride du 20 eme siècle n’ont rien à envier à ceux de Lamartine “ . Selon Serigne Mansour Sy Djamil, les premiers écrivains sénégalais se sont exprimés en arabe parce qu’ils ont appris la métrique de la langue arabe, rapporte le site Walf-groupe.com.