Surnommé le voleur des VIP, le chanteur, Soriba Kouyaté, a défrayé la chronique dans une sordide affaire de vols. Il a été incarcéré pendant 5 mois avant de recouvrer la liberté. Aux yeux du musicien, il s’agit d’une cabale. « Je rends grâce à Dieu, car c’est cet épisode de ma vie qui m’a permis d’enregistrer l’album « Mon si lence ». Toutes les bassesses, les coups montés, les pièges dont j’ai été victime à cette époque sont dans les chansons. Je ne vais pas m’attarder sur les détails. Mais, sachez juste que le milieu de la musique est bien pire qu’un combat de lutte. Car, les combats de lutte se livrent en un jour et on passe à autre chose. Tandis que dans la musique, c’est un combat perpétuel et ton adversaire est tapi dans l’ombre. Pour vous dire combien la concurrence dans la musique fait rage », lance t-il tout d’abord avant de rappeler qu’il a identifié ses concurrents musiciens. Et ce n’est pas pour rien
« J’en ai identifié certains et ils se reconnaitront le moment venu à la sortie de l’album. J’ai mis du temps à le concocter. Avec ma voix, j’essaie de servir le peuple. Mais ma voix me sert à servir aussi mes propres intérêts », a-t-il précisé.
« Qui me connait, sait que je suis un homme digne. Je n’ai pas de mauvaises fréquentations. Je ne fréquente pas des malfrats. Je n’ai pas de problèmes avec qui que ce soit. Je ne souhaite à personne du mal », poursuit-il
« La justice a fait son travail et m’a lavé de tout soupçon », s’emporte Soriba Kouyaté pour qui on a comploté contre sa personne. « J’ai été incriminé à tort dans cette affaire à cause d’une cabale montée de toutes pièces par des personnes mal intentionnées. Toutefois, je n’en veux pas aux forces de l’ordre. Elles ne font que leur travail. Suite à des accusations, ils m’ont interpellé, relevé mes empreintes et tout ce qui s’ensuit. Après une enquête rondement menée, ils ont fini par me blanchir. Dieu est au dessus de toutes ces contingences. Et, la vérité a fini par triompher. Je ne suis rien d’autre qu’une pauvre victime comme il y en a ds centaines qui croupissent dans nos prisons », s’est-il désolé