“Il faut des ”nervis” pour arrêter les insulteurs des réseaux sociaux descendus sur le terrain”

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Je l’avais dit, depuis l’entrée de Ousmane SONKO en politique, la terreur a été érigée en ligne de stratégie pour arriver au bout de leur rêve. Les journalistes, les droits d’hommistes, la société civile, les autorités étatiques, coutumières et religieuses qui disent la VÉRITÉ sont ciblés, insultés, menacés de morts dans les réseaux sociaux.

C’est avec les événements du mois de Mars que cette « meute de chiens » dressée par SONKO ont commencé à envahir le terrain par des violences physiques inexplicables en s’attaquant à nos Institutions (les gendarmeries, les mairies, les stations de télévisions et radios et les Tribunaux), aux personnes physiques ( les membres du gouvernement et leurs familles), et à leurs biens.

Nos forces de l’ordre étant débordées, il fallait coûte que coûte faire face à cette violence perpétrée par les jeunes qui commence à saper la cohésion sociale. Même l’université qui est un temple du savoir n’est pas épargnée.

Lorsque l’on constate une montée des tensions, la meilleure réponse est l’anticipation de ces situations et la possibilité de les désamorcer. Il existe des stratégies de « désamorçage » dont l’objectif est de réduire le risque de violence grâce à la mobilisation de compétences comme les Nervis.

Personnellement, je suis d’avis pour la création de ce corps qui aura une seule mission : protéger les événements politiques officiels que les membres du gouvernement organisent dans les différentes localités du pays : réunions de CRD, de CDD, inaugurations d’infrastructures, cérémonies officielles dans les différents foyers religieux du pays…

La tyrannie d’un opposant politique malhonnête et de mauvaise foi, intraitable même par nos Khalifs généraux peut entraîner le pays dans l’abîme que nous regretterons tous. Notre extrême « MASLAHA » dégénère quelquefois et nous fait regretter de ne pas réagir à temps. Si nous ne réagissons pas face à cette nouvelle forme de faire la politique : la terreur par la violence sous toutes ses formes, le Sénégal, ce pays de paix et de Teranga va être sacrifié à la chimère des caprices d’un seul homme ; Ousmane SONKO. Faut-il le laisser déstabiliser notre pays ou faut-il le sacrifier lui-même ?

La question mérite d’être posé après la mort de 14 personnes et les dégâts matériels et collatéraux lors des manifestations de mars pour son simple plaisir. Il est allé seul de son propre gré dans un salon de massage à l’heure du couvre-feu et à maintes reprises. Nous connaissons le reste, il a abusé d’une fille qui a finalement porté plainte pour viol avec menaces.

Nous devons tous arrêter de contracter un engagement désavoué par la bonne foi en tant que croyants que nous sommes pour dire la VÉRITÉ à Ousmane SONKO comme l’a fait le Saint homme Sérigne Mountakha MBACKE.

L’approbation publique doit retentir dans toutes les localités par le cri de la conscience collective qui nous permet de sauver la République. Vivement que ces Nervis fassent revenir la paix en corrigeant les fauteurs de troubles qui agissent sous le diktat d’un pervers sexuel. J’ai dit.

Par Malick Wade GUEYE depuis Marseille.

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