Barthélémy Dias s’est fait une religion : pour lui le Sénégal ne souffre ni de sa classe politique ni de ses religieux ni de sa jeunesse, mais plutôt “de cette mackystrature, qui s’est aplatie comme un ver de terre”, “moyennant des terrains et des enveloppes”, pour “saboter” l’élection présidentielle du 24 février.